Dans la vie, rien n’est jamais tout à fait blanc ou noir. Et notre quête de connexions sociales, lorsqu’elle est constante, devient aussi une forme d’évitement. La solitude nous fait peur, car elle nous confronte à nous-même ! Dès lors, pour la majorité d’entre nous, elle peut être vécue dans la peine, l’angoisse ou la tristesse. Pourtant, au-delà d’une expérience négative, la solitude peut être le lieu d’une prise de recul nécessaire pour notre épanouissement personnel.
J’entends régulièrement cette phrase fataliste : on ne change jamais ! Avez-vous déjà pensé cela ? Qu’est-ce que ça génère en vous ? De l’abattement, de la colère, de la tristesse ? La bonne nouvelle, c’est que c’est faux, archi-faux. Nous pouvons changer et d’ailleurs nous ne faisons que changer en permanence.
Si nous n’avons pas réussi à tenir nos résolutions, inutile de s’infliger en plus quelques tortures. Se morfondre et culpabiliser nous sont préjudiciables. Cela attaque la confiance en soi, l’estime de soi. Mieux vaut apprendre à se traiter comme le ferait un bon ami, avec compréhension en bienveillance, et sans complaisance
C’est peut-être un peu guimauve, “bisounours” comme disait l’autre ;) mais la bienveillance devient une attitude indispensable comme rempart contre les négativités ambiantes du monde.
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